Les femmes sont des tulipes pourpres
Tu disais
Tu semblais dire
Pourpre
Et je t’écoutais
Tu disais
Posez les cendres de ce jour
Dans de lourdes tentures pourpres
Je pensais
Anémone
Et tu ne disais plus rien
Le temps passait si vite
Dans la rumeur du présent
Tu disais pourpre
Et posais la couleur
Sur tes lèvres
Et tes doigts
Un baiser
Une caresse
Et l’aquarelle vient au jour
Tu disais
C’est bien
Je pensais
Il y a peu de lumière
Sur le chemin du retour
On avance pas à pas
Jusqu’au dernier
Insouciant
PATRICK CHEMIN
Tu disais
Il y a peu de lumière
Je pensais
Les femmes sont des tulipes pourpres
PASCALE BOULON
Je n’ai pas réussi à voir quoi que ce soit….
C’est une aquarelle? un récit?
oups j’avais oublié de confirmer l’image!
Je ne regrette pas d’avoir insisté,c’est plein de vigueur.Et de coeur.
Pour arriver jusqu’à Amsterdam on traverse des champs de tulipes
Je ne pensais pas qu’on pouvait y arriver en passant par une aquarelle
Merci pour ce voyage…
ville que je ne connais pas, sans doute en contraste…
un beau moment de poésie
besos
tilk